À presque 18 ans, Hannah enrage de devoir subir un nouvel
été à Wick, petite ville portuaire écossaise. Il n'y a pas plus ennuyeux que
cet endroit pour une citadine de son âge. Jusqu'à ce qu'elle rencontre Leith.
Il est bâti comme un roc et possède les plus beaux yeux qu'elle ait jamais vus.
Qu'importent les rumeurs qui courent au sujet du jeune homme... l'attirance est
immédiate, réciproque et irrépressible.
Puis tout bascule. Le conte de fées se transforme en
cauchemar et le destin d'Hannah est scellé. Leur relation résistera-t-elle à
l'inimaginable ? Sauront-ils vaincre le pire ? Car les légendes sont parfois
plus réelles que l'on croit.
Mon avis :
Je continue mon aventure Hallowctober avec Les étoiles de
Noss Head, une trilogie sur des créatures de la nuit (je ne vous dit pas
lesquelles pour garder un peu de suspense). Je n’ai lu que le premier tome et
je me ferais un plaisir de lire la suite.
Il s’agit donc de l’histoire d’Hannah qui rencontre Leath un
beau jeune homme… Pas qu’un simple jeune homme d’ailleurs, il est décrit comme
un véritable canon. Ca m’a un dérangé d’ailleurs. J’en ai marre de ces livres
où tous les mecs sont des apollons et où l’innocente jeune fille se retrouve
muette comme une carpe devant lui. Ferme la bouche, rentre la langue et arrête
de baver ma pauvre fille !
Enfin bref, tout ça
pour dire que tous ces livres se ressemblent et cela devient un peu lassant. J’ai
beaucoup pensé à Twilight par certains moments.
A part cela, Hannah reste une jeune fille agréable à suivre
car elle sait ce qu’elle veut et ne se laisse pas faire. J’ai trouvé leur histoire
un tantinet rapide (Bella si tu passes par là…) : Comment peux-t-on
vouloir risquer sa vie pour quelqu’un que l’on connaît depuis 2 jours ?
(Je crois d’ailleurs que je m’était posé la même question pour Le Temps contre nous de Tamara Ireland Stone).
Cela ne m’a cependant pas empêché d’apprécier ma lecture et
d’en garder un bon souvenir.
Ma note : 3/5
Les + :
·
Une histoire qui tient en haleine
·
Un couple trop mignon
Les - :
·
Une histoire sans ce petit truc qui fait la
différence